Gretchen Parlato au Duc des Lombards
Si vous souhaitez découvrir une des voix les plus suaves, un des phrasés les plus élégants, un des timbres les plus sensuels de la génération montante des chanteuses de jazz vocale... alors retrouvons nous le mardi 13 décembre pour un concert exceptionnel.
Taylor Eigsti : piano,
Alan Hampton : guitare,
Justin Brown : batterie
Wayne Shorter la compare à Frank Sinatra et Nat King Cole, Herbie Hancock la soutient depuis ses débuts et sa meilleure amie
n’est autre qu’Esperanza Spalding…
Gretchen Parlato est la vocaliste dont tout le monde parle.
C’est la révélation de 2011
Sunderland
rencontre avec les artistes après le spectacle
Mise en scène : Stéphane HILLEL
Avec:Elodie Navarre, Constance Dollé, Léopoldine Serre,Vincent Deniard,Vincent Nemeth, Thierry Desroses, Pascale Mariani et la participation de Bénédicte Dessombz.
A Sunderland, pour ne pas perdre la garde de sa petite sœur, Sally a cruellement besoin d’argent. Et ce ne sont pas les revenus de sa colocataire récemment promue experte en téléphonie rose qui
changeront quelque chose. Naît alors en elle un projet insensé, car si rien est à vendre, quelque chose est à louer…
Sunderland est une comédie à l’anglaise où l’émotion et le rire s’entremêlent sans cesse.
" Magnifique" Télérama
" Une belle réussite" Le Canard Enchainé
" C'est habile et malin (...) Vraiment du bon théâtre" Le Figaro
" Une mise en scène irréprochable" Pariscope
Yayoi Kusama au Centre Pompidou
Visite guidée avec conférenciére
Le Centre Pompidou consacre, pour la première fois en France, une rétrospective à l’œuvre de Yayoi Kusama, considérée comme l’une des plus célèbres artistes contemporaines au Japon. À travers cent cinquante œuvres réalisées entre 1949 et 2010, l’exposition rend hommage à une artiste inclassable dont l’influence a été considérable (de Warhol à Mike Kelley) et qui captive encore les plus jeunes artistes contemporains.
Très tôt, Yayoi Kusama place les motifs récurrents des fleurs ou des images liées aux hallucinations qui la submergent depuis l’enfance au cœur de ses dessins et de ses peintures. Son œuvre se radicalise dès son arrivée à New York en1959. Cette radicalité s’impose de la peinture à la sculpture, des environnements aux collages, des happenings aux films ou aux installations.
De retour au Japon depuis 1973, l’artiste vit entre son atelier et un hôpital psychiatrique où elle entreprend un travail d’écriture. Depuis les années 1980, Yayoï Kusama a obtenu une reconnaissance internationale notamment à travers ses environnements « infinis », caractérisés par la répétition hypnotique des formes.
Madame de …Vilmorin au Petit Montparnasse
et rencontre avec Coralie Seyrig
d'Annick Le GOFF et Coralie SEYRIG
d'après les entretiens d'André PARINAUD.
Avec Coralie SEYRIG. Mise en scène Christine DEJOUX
De Malraux à Saint-Exupéry, de Roger Nimier à Orson Welles, tous ont craqué pour la romancière élégante de «Madame de», dont la vie trépidante fut aussi un roman
Coralie Seyrig est Louise de Vilmorin.
Avec cocasserie et une grande intelligence, Louise évoque son enfance, les hommes qui ont traversé sa vie et qu'elle a aimés (Jean Cocteau, Saint-Exupéry, André Malraux, Gaston Gallimard...), ses
idées sur la littérature.
Tout cela, avec une légèreté mêlée à une profondeur qui n'appartiennent qu'à elle..."
Croisiére " Paris Canal"
exclusivement réservée à CultureLLes
Pour fêter l’arrivée de l’été et clôturer notre saison CultureLLes, avant de nous retrouver en septembre … nous avons « largué les amarres » pour une croisière privilégiée sur le Canal Saint Martin
Un verre de bienvenue nous a été servi à bord du bateau et nous avons pu apprécier ensemble ce cadre magique dans une ambiance chaleureuse et conviviale.
Une croisière romantique et insolite au départ du Parc de la Villette pour découvrir la poésie du Canal Saint Martin, son allée aquatique auréolée de passerelles romantiques, bordée de marronniers et de pêcheurs … ses écluses ..... l’hôtel du nord … « l'atmosphère était au rendez-vous !! »
Puis notre bateau nous a permis de remettre le pied à terre pour que nous puissions rejoindre notre restaurant : « le café Clochette » ou nous avons poursuivi notre croisière amicale …
Dîner Théâtre
et rencontre avec Marc Hollogne
Pour cette soirée de Mai, CultureLLes a fait découvrir un spectacle incroyable ...
du Cinéma Théatre Au Théâtre Déjazet!
En 1788 se dessine une révolution qui n'en est encore qu'à ses tous premiers balbutiements, la Révolution… industrielle !
En moins de dix ans, depuis que Rousseau a refermé les pages de sa vie, l’invention des « pompes à vapeur » bouleverse la cadence naturelle qui relie l'homme à la nature. L'instinct du Chevalier de Casignac lui hurle qu'il faut interdire la multiplication de ces machines qui permettent au mouvement mécanique de remplacer l'effort musculaire.
Dans un langage riche d’illuminations métaphoriques, « L’Illuminé » évoque entre autres l’ordinateur, le GPS, tout cet environnement d’aujourd’hui truffé de dépendances technologiques…
Le Cinéma-Théâtre de Marc Hollogne, un genre époustouflant, hallucinant, qui par la magie des images cinéma et la grâce du spectacle vivant, de l’histoire et du texte, repousse les limites de
l’expression.
Dans ce nouveau spectacle, Marc Hollogne intensifie encore plus le propos et la forme de ses créations précédentes.
Etourdissant de drôlerie et d’invention.
Avec la présence sur écran de Michel Jonasz, Mathilda May et Rufus.
L’orient des femmes
vu par Christian Lacroix
Pour notre soirée du mois d’avril cultureLLes a proposé un parcours poétique à la découverte de pièces uniques exposées pour la première fois en France ..
A la croisée de deux regards
Pour la commissaire de l’exposition, Hana Chidiac, « c’est une invitation à la découverte d’un art vestimentaire féminin, d’une façon d’être, de vivre. Cette exposition se veut un hymne aux femmes ».
Avec elle Christian Lacroix a assuré la sélection des pièces présentées dans l’exposition : robes de fête, manteaux, voiles et coiffes qui composaient le trousseau de la mariée.
Guidée par la couleur des fils sur le coton noir, l’argent lamé ou la soie rayée des doublures, la coupe des robes ailées et la teinture des étoffes nouées, son œil de couturier a désigné les heureuses élues, il a imaginé le visiteur venant à leur rencontre au cours d’une déambulation poétique : suspendues et comme planant, revêtues sous des accessoires ou étendues avec désinvolture, les robes habitent un espace coloré où se projette, avec la lumière, l’imaginaire du couturier vers un Orient rêvé.
Pour notre soirée de mars nous avons apprécié un duel oratoire, vigoureux et passionné.
Un duel d’idées et de dialectique mettant à nu plusieurs sujets comme la violence, les conditions de l’être humain d’un point de vu politique et idéologique. Une œuvre intelligente et très bien jouée.
Au Petit Montparnasse
« Le crépuscule du CHE »
8 octobre 1967. La petite école du village La Higuera en Bolivie…
Le Che, prisonnier, s’apprête à y vivre sa dernière nuit.
Quelques heures avant son exécution, «El Commandante» va faire une étrange rencontre : un journaliste d’aujourd’hui venu interroger cette personnalité hors normes.
Au fur et à mesure de leur brûlant entretien se dessine une image du Che loin de celle véhiculée par les produits dérivés à son effigie : un homme complexe, ni monstre sanguinaire ni surhomme romantique.
Un spectacle qui éclaire d’un autre jour une personnalité qui fait partie, qu’on le veuille ou non, de notre histoire.
Après le fabuleux destin de sa mise en scène Confidences à Allah, saluée à travers Alice Belaïdi par le Syndicat National de la Critique et les «Molières», Gérard Gelas secoue de nouveau nos consciences : dans une société qui se mondialise en semblant perdre toutes valeurs, Che Guevara nous interroge.
Icône romantique, ou bourreau sanguinaire ? Héros de la jeunesse, quel idéal trouve-t-elle en lui, et sait-elle seulement vraiment qui il est ? Révolutionnaire utopiste, mais au prix de quels sacrifices ?
Le Che redevient un homme de chair et de sang, interrogé à vif, quelques heures avant sa mort...
Notre soirée de février était consacrée aux femmes avec la découverte d'une exposition exceptionnelle à
la Galerie des Bibliothèques
« Photo Femmes Féminisme
(1860-2010) »
150 ans d’histoire des femmes racontés à travers 200 photographies méconnues du fonds photo de la bibliothèque Marguerite Durand. L’exposition
Portraits, photographies d’art et photographies documentaires : l’exposition nous invite à découvrir quelques-unes des grandes aventures collectives des femmes des XIXe et XXe siècles.
Les quelque 200 photographies réunies rendent compte de l’ampleur chronologique de la collection de la bibliothèque Marguerite Durand, des conquêtes des femmes à la lumière de l’histoire des arts, de la littérature, du sport et de la photographie.
Morgan Ménad conférencière à la Galerie nous a accompagné dans notre parcours en images pour nous apporter un éclairage très enrichissant.
Après la visite guidée : rencontre et échanges avec Annie Metz et Florence Rochefort, les commissaires de l’exposition.
Dédicace du catalogue de l’expo
Nous avons poursuivi notre soirée à l’Equinox charmant restaurant rue des rosiers où nous avons été très bien accueillis pour nous permettre de partager comme d’habitude un moment gourmand et chaleureux.
Pour notre première soirée de l’année, nous avons eu le plaisir de retrouver le metteur en scène que nous avions tant apprécié dans « Alexandra David Néel » : Didier Long pour son nouveau spectacle qui, une fois de plus, nous a transportés dans une grande émotion teintée d’humour ..
Petit Théâtre de Paris
« ALLER CHERCHER DEMAIN »
Mis en scène par Didier Long
avec
Michel AUMONT, Denise CHALEM, Philippe UCHAN, Nanou GARCIA
« Tous les jours que Dieu fait, Charles qui vit avec sa fille Nicole, lui raconte les mêmes blagues juives pour la faire sourire. Pour elle, infirmière de nuit à l'hôpital, la seule
chose qui importe c'est d'avoir le courage « d'aller chercher demain ». Au-delà du jour qui suit, elle ne veut faire aucun projet. Ni se marier avec Adrien, ni faire un régime, ni remplir leur
appartement de fleurs - même si toutes les femmes normales aiment les fleurs – ni… ni… Seulement voilà, un jour, son quotidien bascule. Entre rire et émotion, dans la lumière crépusculaire du
père, émerge le portrait d’une fille forte, une femme sans concession, une femme pour aujourd’hui. »
Après le spectacle nous nous sommes retrouvées au restaurant le Domaine de Lintillac pour poursuivre notre soirée autour d’un dîner gourmand.
Après le spectacle:
rencontre et échanges avec Didier Long et Denise Chalem .
Pour lire les commentaires sur cette soirée cliquez sur la photos
Pour cette dernière soirée de l’année CultureLLes nous avons fait une descente à la cave… mais pas n’importe laquelle !!!
Une rencontre gourmande autour du vin pour nous « titiller » les papilles.
Maison de l’Aubrac
Dégustation de vins et buffet gourmand
Eleveurs à Laguiole et Restaurateurs à Paris, la famille VALETTE propose, au sein des différentes entités, une gastronomie de terroir riche en saveurs.
De la fourche à la fourchette, nous allons découvrir la charcuterie et les fromages de l'Aubrac en dégustant à l'aveugle les vins sélectionnés et commentés par l'équipe de sommeliers.
Paul Claudel disait : « Le vin est un professeur de goût, il est le libérateur de l’esprit et l’illuminateur de l’intelligence » …alors pour apaiser notre « soif » de culture nous avons été conviées à participer à un petit « quizz » amusant et instructif, histoire de nous « titiller » aussi les neurones !
- De qui est l’affirmation suivante : « Qui sait déguster ne boit plus jamais de vin, mais goûte des secrets ? » Henri Michaux, André Breton ou Salvador Dali ?
- Que mesurent les Caudalies ? : Le taux de sucre résiduel d’un vin, La richesse alcoolique d’un vin ou la persistance aromatique d’un vin une fois le liquide avalé ?
- Dans le célèbre film « Casablanca » de Mr Curtis, que boivent Ingrid Bergman et Humphrey Bogart en se regardant langoureusement ?: Un magnum 1922, Un champagne MUMM ou un ballon de rosé ?
CultureLLes et la Maison de l’Aubrac
ont récompensé 3 gagnantes en leurs offrant
une bonne bouteille !
Pour cette avant derniére soirée de l'année, CultureLles a "osé" une rencontre avec des artistes femmes audacieuses autour d'une expo conjuguant esthétique et humour !
« Les sex toys se camouflent
en œuvres d’art ?
L’œuvre d’art devient
un sex toy ? »
Une exposition de Miette, Stoul et Viriginia Ennor
Événement Parrainé par Madame Réjane Lacoste
C’est ici un jeu de devinettes dans lequel les jouets pour adultes se confondent aux Arts Toys.
Une sélection d’artistes féminines, issues de la scène internationale actuelle (street-art, lowbrow-art,…), réinventent les sex toys.
Transformations étonnamment mignonnes s’intégrant entièrement à leurs univers respectifs.
Un mariage subtil se déclinant sous différentes formes artistiques telles que la peinture, la sculpture, le toys, la photo, les dolls et la customisation.
69 pièces seront présentées à l’occasion d’une balade originale, à la fois graphique et plastique, à travers une scénographie colorée de fresques.
Les Artistes :
Miette, Stoul, Peggy, Mllz Fannib , Isabelle Lamoise, Eliz, Eva D, Axelle Russo, Edgar, étaient présentes
pour échanger avec nous
et nous apporter un éclairage « souriant »
sur leurs oeuvres.
Nous nous sommes retrouvées ensuite au restaurant "le 1er" juste à coté de la galerie pour poursuivre notre soirée dans une ambiance très .....festive !
Pour cette soirée d'octobre, CultureLLes a proposé une comédie dramatique où l'humour est omniprésent, malgré la gravité du sujet.
Une pièce « intelligente et bouleversante » qui met à jour les qualités et les travers de chacun d'entre nous et qui donne à réfléchir sur la nature humaine !
LE REPAS DES FAUVES
AU THÉÂTRE MICHEL
D'après l'oeuvre de VAHE KATCHA
Adaptation et Mise en scène de Julien Sibre
Assisté de Isabelle Brannens
Avec :
Cyril Aubin, Olivier Bouana, Pascal Casanova, Stéphanie Hédin, Pierrejean Pagès, Jérémy Prévost, Julien Sibre et Caroline Victoria
Une banlieue parisienne en 1942.
Dans la France occupée, sept amis se retrouvent pour fêter l’anniversaire de leur hôte.
La soirée se déroule sous les meilleurs auspices, jusqu’à ce qu’au pied de leur immeuble soient abattus deux officiers allemands.
En représailles, la Gestapo investit l’immeuble et décide de prendre deux otages par appartement. Le Commandant Kaubach, qui dirige cette opération, reconnaît en la personne du propriétaire de l’appartement, M. Pélissier, le libraire à qui il achète régulièrement des ouvrages.
Soucieux d’entretenir les rapports courtois qu’il a toujours eus avec lui, Kaubach leur laisse alors la liberté de choisir eux même les deux otages qu'il viendra chercher au dessert.
C’est ainsi que peut commencer « Le Repas des Fauves » …Emotions garanties …..
Et pour poursuivre notre soirée dans une ambiance festive,
nous nous sommes retrouvées autour d’un Cocktail Gourmand au Bistrot « Le Greffulhe
Julien Sibre et les autres comédiens nous ont fait l’honneur de venir nous rejoindre au moment du dîner pour échanger avec nous avec beaucoup de sympathie
Pour cette première rencontre de la saison ,CultureLLes vous a fait découvrir une exposition au
Musée des Arts Décoratifs
« Histoire idéale de la mode contemporaine »
Les Arts Décoratifs proposent la première exposition sur l’histoire de la mode contemporaine en deux volets. D’abord objet d’un livre publié à l’automne dernier, « Histoire idéale de la mode contemporaine » prend une nouvelle dimension à travers deux expositions consécutives. Aux décennies 70 et 80 succèderont, dans un deuxième temps, les années 90-2000 comme deux volumes d’une rétrospective historique et sélective de la mode.
90-2000 : les années de la maturité. Elles commencent par une vague de créateurs revendiquant les formes minimalistes tel que Azzedine Alaïa, les japonais comme Yohji Yamamoto, Helmut Lang ou Martin Margiela. Succède ensuite le goût de la provocation, de l’ornement, et du faste incarné par les créateurs britanniques comme John Galliano pour Dior, ou Vivienne Westwood…..
Nous nous sommes retrouvées ensuite au tout nouveau bar El Tonel pour y savourer un assortiment de tapas fraîchement préparés par le très sympathique maître des lieux.
Pour poursuivre notre voyage dans l’univers de la mode et de la création, nous avons eu le plaisir d’accueillir et découvrir le travail d’Anna Nagalo, styliste talentueuse.
Vous pourrez retrouver sur son site l’ensemble de sa collection
C’etait notre dernière rencontre CultureLLes avant l’été !
Nous avons passé une soirée magique en compagnie de Sacha Guitry
THEATRE LE RANELAGH
L’ILLUSIONNISTE
Mise en scène : Tristan Petitgirard
Teddy Brooks manipule aussi bien les cartes que le cœur des femmes. Invité chez un couple de bourgeois, afin de faire quelques tours pour eux et leurs amis, il ne trouve pour public que Jacqueline, la maîtresse de maison. C’est lui qui vient d’être joué, pour son plus grand plaisir. Mais devant l’assurance de l’artiste, Jacqueline fait machine arrière. L’illusionniste va devoir réussir son plus beau tour, s’il veut arriver à ses fins…
Intelligence, désir et illusion, pour une des pièces les plus charnelles et modernes de l’auteur.
Un Guitry de chair et d’esprit par une jeune génération d’acteurs talentueux.
C’est un espace hors du temps, en plein Paris, où les savoir-faire perdurent avec la même passion, la même rigueur, de génération en génération que nous nous sommes retrouvées.
la Galerie des Gobelins
Tout d’abord avec la visite exceptionnelle des ateliers …
En 1662 Colbert décidait de regrouper en un même lieu les ateliers de tissage de tapisserie de Paris et de Maincy (installés par Fouquet). Charles Le Brun, premier peintre de Louis XIV, en fut le premier directeur.
Il en fit une manufacture destinée à l’ameublement des résidences royales en y installant en plus des lissiers des orfèvres, des fondeurs et des ébénistes.
La Manufacture est rattachée au Mobilier National depuis 1937 et tisse des tapisseries en faisant appel à des artistes contemporains. La haute-lisse*y est exclusivement utilisée depuis 1837.
…puis de l’expo
« Trésors de la Couronne d’Espagne, Un âge d’or de la tapisserie flamande »
L’exposition d'une vingtaine de tapisseries flamandes de la Renaissance des anciennes collections des Habsbourg, appartenant aujourd’hui au Patrimonio nacional et conservées dans les palais royaux d’Espagne. Ces pièces, jamais montrées à Paris, sont l’un des joyaux du patrimoine espagnol et constituent un sommet de l’art de la tapisserie à son zénith.
Commandée par plusieurs générations de souverains (Jeanne la Folle, Marguerite d’Autriche, Charles Quint, Philippe II), ces œuvres sont un témoignage éblouissant du mécénat exceptionnel accompli par les Habsbourg en faveur de la tapisserie au XVIe siècle. Réalisées à Bruxelles dans les meilleurs ateliers de l’époque, les plus grands artistes du temps, flamands ou italiens (Colyn de Coter, Bernard van Orley, Pieter Coecke van Aelst, Jules Romain) en fournirent les modèles.…
"Alexandra David-Neel - Mon Tibet "
ALEXANDRA DAVID-NEEL :
LA « FEMME AUX SEMELLES DE VENT »
Alexandra David Néel est l’une des plus grandes figures du Voyage au 20ème siècle. Femme unique et multiple, elle a tour à tour été bourgeoise, anarchiste, cantatrice, journaliste, écrivain, bouddhiste, exploratrice….
Féministe avant l’heure, en 1910 elle exige un salaire pour la femme au foyer… Passionnée d’Extrême-Orient, quelques mois après son mariage, elle convainc son mari de partir en Inde, seule, six mois. Elle y restera quatorze ans ! Son exploit : être la première Occidentale à pénétrer dans un Tibet interdit à l’époque. Etonnante femme qui, en 40 ans, a parcouru des milliers de kilomètres de jungles, de steppes ou de solitudes glacées, à pied, à dos de yack ou de mule, franchissant des cols de 5000 mètres d’altitude…
Exceptionnelle femme qui a défié l’Himalaya, déguisée en mendiante, pour arriver enfin, famélique, épuisée, en guenilles, à Lhassa. Ses exploits, sa philosophie très pertinente sur la vie, la « vraie » vie… ses recherches sur le Bouddhisme lui ont donné matière à écrire de nombreux livres comme le « Voyage d’une Parisienne à Lhassa. » Ce qui lui valut une renommée et une dimension internationales.
La pièce commence au moment où Alexandra David Néel, au soir de sa vie, retirée dans le Midi de la France, engage une jeune femme qui va lui servir de gouvernante, cuisinière, secrétaire,
lectrice, bibliothécaire, confidente et... souffre-douleur ! Invraisemblables rapports entre ces deux femmes où deux caractères de feu vont s’affronter. Amour-haine, colères-tendresse, qui,
immanquablement s’achèvent dans d’improbables voyages par la mémoire ressuscités. –
« Allez, petite, donne-moi ton bras, on part… »
Et, sans quitter son bureau, on part avec elles, sur le Toit du Monde, dans le vent et la morsure du froid. Et on y croit ! Inimaginable, extravagante femme qui, à 100 ans, faisait refaire son passeport !!!
Comme d’habitude, la rencontre CultureLLes de mars fut une « échappée récréative » dans nos agendas surbookés !
Pour commencer, c’est avec un plaisir partagé que nous avons découvert un restaurant pour un moment gourmand et de convivialité très apprécié :
"La branche d'olivier"
Crée par des passionnés de la cuisine libanaise moderne « La branche d’olivier » se veut une fenêtre sur la cuisine libanaise de demain, loin du folklore, la recherche des textures et des saveurs priment dans le respect des produits et de la tradition
A recommander pour leur accueil chaleureux et leur cuisine raffinée.
Nous avions rendez vous ensuite avec notre conférencière pour une viste guidée passionnante de plus de 2 heures du
Musée Nissim de Camondo
Collectionneur passionné, Moïse de Camondo a constitué un ensemble étonnant d’oeuvres du XVIIIe siècle. Sa demeure, d’une grande modernité, est l’un des rares témoignages de l’art de vivre à Paris pendant l’entre-deux-guerres. Notre conférencière nous offrira un éclairage très intéressant sur la vie de cette famille de banquiers.
Vous souhaitez découvrir le Musée Nissim de Camondo, cliquez sur la photo
La "Ronde"
D'Arthur SCHNITZLER
Adaptation et mise en scène de Marion BIERRY
Près du volcan de la première guerre mondiale, les personnages de La Ronde dansent, badinent avec la mort et plaisantent avec l’amour. Dans la frivolité, le jeu, l’ivresse des corps, ils se risquent à dire oui à la vie !
Marion Bierry nous propose une mise en scène de « la Ronde », où suggestions et sous-entendus sont explicités joyeusement. Mais cette valse des désirs aussi impérieux qu’éphémères, où chacun joue la comédie de l’amour pour mieux en venir au sexe, y perd étonnamment son aura de scandale. De la prostituée au comte, en passant par la femme de chambre, la grisette, le poète et le couple bourgeois, la Ronde entraîne dans une danse folle toutes les classes de la Vienne des années 1900. Dans ce grand charivari carnavalesque, les distances sociales s’abolissent, les bienséances se suspendent. (Extrait critique de Vincent Morch)
Nous avons démarré notre soirée par un moment de convivialité comme à notre habitude avec un dîner dans un petit restaurant très cosy et à 5 minutes du théâtre : le VINI LOUNGE
C'est dans un lieu insolite et chargé d'histoire que nous nous sommes retrouvées pour cette première rencontre CultureLLes 2010
Le Musée du Vin
Rue des Eaux - 75016 Paris
Pour éveiller nos sens, nous avons découvert l'histoire passionnante de ces anciens celliers du couvent des Minimes qui datent du XVème siècle, la vocation du Conseil des Echansons de France et l'origine de cette adresse du Musée du Vin : rue des eaux !!
Puis nous avons cultivé nos papilles avec une dégustation à l'aveugle animée par un grand sommelier. dans une ambiance conviviale et ludique.
Nous avons poursuivi ce moment "gourmand" par un succulent déjeuner dans un des celliers voûtés du Musée du Vin.
Et celles qui ont eu le temps ont pu terminer par la visite du musée.
Voilci un « amuse bouche » savoureux du programme 2010 qui sera proposé par CultureLLes si vous êtes inscrites à la News.
Si vous souhaitez découvrire le programme des activités du Musée du vin cliquez sur la photo
Ils sont voisins de cimetière. Elle vient régulièrement se recueillir sur la tombe de son mari, trop tôt enlevé par un malencontreux accident de vélo. Il vient fleurir la tombe de sa mère, emportée par un cancer.
Elle est bibliothécaire, ne pense que culture et ne mange que bio, il est agriculteur, élève des vaches et n’imagine pas qu’on puisse lire «de son plein gré » ; l'apparence du mec de la tombe d'à côté agace la jeune femme autant que la tombe avec sa stèle tape-à-l'œil. Rien, a priori, ne rapproche ces deux-là, et pourtant…
Si vous souhaitez connaitre la programmation du Petit Saint Martin: cliquez sur l'affiche
Un déjeuner + visite guidée avec conférencière au Musée des Arts Décoratifs pour découvrir une femme d'exception: "Madeleine Vionnet, puriste de la mode"
Première rétrospective parisienne rendant hommage à l’une des plus grandes couturières françaises du XXe siècle à travers cent trente modèles de 1912 à 1939.
Pionnière dans la maîtrise de la coupe en biais et de l’art du drapé, elle a su mettre son génie au service des femmes et de leur bien-être. Madeleine Vionnet a permis une véritable transformation de la silhouette et de l’esthétique, marquant ainsi l’évolution de l’émancipation du corps féminin.
Figure phare de la haute couture de l’entre-deux guerres, Madeleine Vionnet est considérée comme « le couturier des couturiers ».
Si vous souhaitez découvrir la programmation du Musée des Arts Décoratifs cliquez sur la photo
Pour faire sa rentrée, CultureLLes avait selectionné,
La péniche le Métamorphosis
En plein Cœur de Paris, un lieu inoubliable...
Au Pont Supérieur, une verrière panoramique abrite un espace restauration chaleureux et raffiné, qui offre une délicieuse cuisine traditionnelle et inventive. Au Pont Inférieur, un joli théâtre de magie..
Pour découvrir LE METAMORPHOSIS : cliquez sur la photo
Née à Buenos Aires le 24 décembre 1958, Nora Herman vit et travaille à Madrid, Burgos et New York avant de s’installer à Paris, en 1982.
Elle est lauréate du concours de sculpture monumentale de la Ville de Paris, en 2001, du prix Lacourière du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale de France et du prix de la Pollock- Krasner Foundation de NYC en 2005.
La fin d’année 2003 marque un aboutissement puisque, dans cette ville choisie il y a plus de vingt ans ont eu lieu, au même moment, la sortie de deux livres, deux expositions, et l’installation de l’une de ses sculptures commandée par la ville de Paris.
Son œuvre, consacrée simultanément à la peinture, la sculpture , la gravure, l’écriture, le film d’animation, tisse un discours visuel ininterrompu, sans se laisser emprisonner en une seule expression.
Sculpteur, ses bronzes entre équilibre et instabilité écrivent la vulnérabilité de notre lien avec la terre.
Peintre, elle exprime cette confusion de la terre et de l’eau, cet “ océan-univers ” dont naissent ses toiles.
Graveur, elle se risque au delà de la maîtrise technique, de la surface, au cœur de la matière, pour créer dans la fragilité.
Auteur, ses textes subtiles, imbus des milles fragrances et de la couleur de la vie, nous invitent à accéder aux mondes intérieurs.
Si vous souhaitez découvrir le travail de Nora Herman, cliquez sur la photo
Toujours avec la même volonté de réunir des femmes chefs d’entreprises, c’est dans le cadre très verdoyant des jardins du Musée du Quai Branly que nous nous sommes retrouvées pour notre déjeuner mensuel le 5 juin dernier.
Après avoir apprécié autant le déjeuner ensoleillé que l’accueil du « Café Branly » nous avons partagé toutes ensemble nos impressions et quelques rires complices en découvrant la fabuleuse exposition :
« Le Siècle du Jazz »
Le jazz constitue, avec le cinéma et le rock, l’un des événements artistiques majeurs du XXème siècle. Cette musique hybride a marqué la culture mondiale de ses sons et de ses rythmes.
L’exposition, conçue par le philosophe et critique d’art Daniel Soutif, présente de manière chronologique les relations entre le jazz et les arts graphiques à travers tout le XXème siècle
Si vous souhaitez découvrir la programmation du Musée du Quai Branly, cliquez sur la photo
Deuxième temps fort de ce mois d’avril, après le Musée Jacquemart André !
CultureLLes à organisé le 28 avril une soirée « dîner théâtre » pour découvrir un spectacle délicieux : « Journal à quatre Mains », subtilement mis en scène par Panchika Velez et interprété par deux comédiennes stupéfiantes au jeu d’une grande élégance.
La pièce a eu 2 nominations aux Molières :
Meilleur spectacle privé et Révélation Théâtrale
le Molière 2009 de la révélation Théâtrale
pour Aude Briant.
Si vous souhaitez découvrir la programmation du théâtre de Poche, cliquez sur la photo
C’est dans le très beau Musée Jacquemart André que CultreLLes a organisé son premier déjeuner le 7 avril dernier, suivi de la visite de l’exposition exceptionnelle « De Sienne à Florence...
Les Primitifs Italiens ».
Une cinquantaine de ces œuvres, toutes réalisées par les plus grands maîtres de la première Renaissance italienne réunies pour cette exposition qui a été une révélation pour le public français.
Un florilège saisissant d’artistes prestigieux, de Guido da Siena à Ghirlandaio permettant la confrontation de deux écoles majeures : celle de Sienne qui compte dans ses rangs Lippo Memmi, Pietro
Lorenzetti ou Sano di Pietro et celle de Florence représentée, entre autres, par Fra Angelico, Lorenzo Monaco ou Filippo Lippi.
Nous étions plus de 25 femmes a partager ce moment de convivialité et si cette rencontre a été appréciée, c’est uniquement grâce à la participation active et généreuse de chacune d’elles.
Si vous souhaitez découvrir les prochaines expositions du Musée Jacquemart André, cliquez sur la photo